Je ne sais pas trop comment va évoluer le contenu de cet article. Je pense que je vais simplement vous présenter comment c’est arrivé.

Sachez tout d’abord que je dois remercie ma grande soeur adorée, Lorène, pour cette opportunité. Sans elle, pas d’article sur moi dans le journal. Mais laissez-moi d’abord vous présenter ce fameux journal. Le Dauphiné Libéré est un journal quotidien des Alpes et de la Vallée du Rhône. Il couvre 9 départements listés ci-après : Isère, Savoie, Haute-Savoie, Ain, Ardèche (), Drôme, Hautes-Alpes, Vaucluse (et la région de Barcelonette pour les Alpes de Haute-Provence). Le Dauphiné Libéré compte 879 000 lecteurs par jour (oui, oui, un beau petit monde).

Maintenant que les bases sont posées, laissez-moi vous expliquer comment tout est arrivé. Lorène et moi sommes originaires de Privas, en Ardèche. Nous avons toutes les deux voyagé en Franc pour nos études supérieures, parcourant différentes villes aux cours des différentes années. Nous avons fait la même CPGE à Lyon et alors qu’elle s’en allait en région parisienne, je m’en allais à Nancy pour mes années d’école d’ingénieur. Lorène est très sportive, elle a fait une dizaine d’années de gymnastique avant de se tourner vers la musculation et le CrossFit (vous comprenez que ma passion pour ce sport vient également de là, car c’est elle qui me l’a fait découvrir !). Elle a participé à la célèbre émission « Ninja Warrior » en Mai 2021 et est bel et bien passée à la télé (même pour un court moment, ahah).

Après ça, elle a été contactée par un journaliste du Dauphiné Libéré afin d’écrire un article sur elle. Lorsqu’elle m’a annoncé la nouvelle, je l’ai félicitée évidemment, et je lui ai demandé sur le ton de l’humour si elle pouvait lui parler de moi et mon roman.

Elle l’a fait ! J’étais si heureuse, je l’ai remerciée mille fois ! J’ai donc contacté le journaliste et nous avons convenu d’un rendez-vous téléphonique pour décider de la date à planifier pour l’entretien. Lorène m’avait prévenu de bien le noter dans mon agenda car elle-même avait complètement oublié de l’appeler le jour J. Je vous laisse deviner ce que j’ai fait le jour J… J’ai totalement oublié ! Mais je ne m’en suis pas rendu compte une ou deux heures après… Non, non, il m’a fallu plusieurs heures et une discussion avec une personne de la box de CrossFit pour me rappeler que j’avais « ghosté » le journaliste. Je n’en ai pas ri au début, je me suis excusée et j’ai demandé un nouveau rendez-vous, heureusement, le journaliste était très gentil. Puis après coup, j’ai envoyé un message à ma soeur en lui disant que j’étais vraiment comme elle, et que je prenais exemple sur elle même pour les bourdes. Nous en avons ri.

J’ai donc attendu le fameux appel téléphonique. La date enfin choisie, il me tardait de partager mon histoire avec ce journaliste. Et lorsque c’est arrivé, je pouvais raconter toute ma vie si facilement que je n’avais aucune raison de stresser de dire n’importe quoi. Le journaliste m’a mise très à l’aise, me posait des questions avec un réel intérêt. Il m’a demandé de lui envoyer une photo pour l’article (je vous la mets à la fin de l’article) et m’a promis de me tenir informée de la date de sortie de l’article dans le journal. Vous trouverez donc cet article en cliquant ici. 

Il s’agit là pour moi d’une grande fierté car je sais que mes grands-parents lisent le journal tous les jours et seront surpris et fiers de voir leur deuxième petite-fille présenter l’aboutissement d’un projet qui lui tient à coeur. Papi, Mamie, si vous lisez cet article, je vous aime très fort et vous me manquez ! Je reviendrai en Ardèche cet été pour vous voir !